RAYA SORKINE

RAYA SORKINE

RAYA SORKINE EST UN PEINTRE FRANÇAIS.
Alain-François Bouvier de Cachard est né en 1936 à Paris.

Son nom d’artiste est Raya Sorkine, nom et prénom de sa mère. Cette dernière, émigrée russe juive, lui a transmis sa culture sémite et slave. Il vit donc sous une culture juive joyeuse, rythmée par des fêtes et musiques traditionnelles ; dont les couleurs, les événements et l’ambiance résonnent dans ses toiles.

Sa culture est donc l’influence essentielle.

Mais nous observons bien que son travail est synonyme de mixité, développée dès son enfance, bercée par de nombreux voyages et guerres. En grandissant, il continue les voyages à travers l’Europe, et traduit dans son travail toutes ses connaissances du monde : c’est la différence culturelle qui le fait grandir, lui et son œuvre.

En se plongeant totalement dans la peinture à 22 ans, il n’avait aucune relation qui pouvait l’aider dans sa démarche. Pendant plus de dix ans, Raya Sorkine a connu la misère : « une toile de tente était mon luxe ».

Après ses voyages et sa culture, sa troisième source d’inspiration est la femme. Ses quatre femmes et ses sept filles seront toutes ses muses.

Les peintures de Raya Sorkine sont peuplées de contrastes. Même si les yeux des personnages traduisent l’horreur de l’époque (avec la Shoah par exemple), les couleurs chantent l’hymne à la vie : du jaune, du rouge, du vert… Elles traduisent un optimisme serein.

Depuis 1962, il expose dans des galeries ou musées, aussi bien en France qu’à l’étranger (Allemagne, Japon, Etats-Unis…).

A l’âge de douze ans, il quitte l’école et, à peine âgé de quatorze ans, muni d’un petit carnet à dessin, il part sur les routes comme un nomade. Raya dort à la belle étoile. L’Europe, la Scandinavie, le Moyen-Orient…

Raya Sorkine va partout, en dessinant ou en peignant. Plus tard il achète une caravane pour poursuivre ses voyages. Le long de sa vie errante qui dure près de vingt ans, il disperse dans le monde ses nombreux tableaux, il épouse quatre femmes dont il a sept filles.

Aujourd’hui, grand-père de quatre petits-enfants, le peintre n’a rien perdu de sa primitivité ni de son mysticisme universaliste. Dans sa maison du Sud de la France, il aime à lire des textes du Zohar ou de la kabbale.

Il peint la nuit en écoutant “sa musique” (cosmique ou religieuse). Sa peinture est profondément slave et profondément juive.

Inscrit au Bénézit depuis 1971, Raya Sorkine est présent dans tous les guides internationaux et sa cote est régulièrement confirmée par des enchères de Drouot, Versailles, Genève, Londres…

MENDJISKY

MENDJISKY

MENDJISKY

Serge Mendjisky est né en 1929 à Paris. Son père, Maurice Mendjisky, était peintre de l’Ecole de Paris, c’est ainsi que Serge fait connaissance avec le monde des Arts dés son enfance. Après avoir suivi ses études aux Beaux Arts de Paris, il devient vite un artiste reconnu et expose en Europe, au Japon et aux Etats-Unis. Déjà, il utilise la photographie pour faire ses études préliminaires en peinture.

En 2000, il décide d’utiliser la photographie comme unique moyen d’expression. Il emprunte la technique du collage afin de modifier les images photographiques et d’articuler sa vision multidimensionnelle du monde. Les perspectives multiples, exprimées dans ses collages évoquent très clairement la phase analytique du Cubisme. Pablo Picasso, bien connu de Serge Mendjisky grâce aux activités de son père sur la scène artistique de l’époque, lui a dit que le Cubisme proprement dit serait pleinement atteint à travers la photographie. Serge Mendjisky a toujours gardé cette vision à l’esprit, et après de nombreuses années d’exploration technique, il a trouvé un moyen de questionner non seulement l’apparence du monde, mais aussi notre comportement perceptuel.

En décomposant et recomposant les horizons de certaines des plus célèbres cités du monde, tels New-York et Paris, Serge Mendjisky crée de nouveaux paysages urbains qui interrogent nos facultés perceptives.

Volumes, lumières et couleurs créent des rythmes visuels différents qui établissent de nouveaux rapports entre Temps et Espace. A travers l’objectif créatif de Serge Mendjisky, Broadway devient une explosion de lumières multicolores, tandis que le “Down Town” new-yorkais valse poétiquement aux sons d’un violoncelle. Des paysages urbains reconnaissables sont redéfinis et leur réalité reformulée devient tridimensionnelle.

MENDJISKY

Serge Mendjisky est né en 1929 à Paris. Son père, Maurice Mendjisky, était peintre de l’Ecole de Paris, c’est ainsi que Serge fait connaissance avec le monde des Arts dés son enfance. Après avoir suivi ses études aux Beaux Arts de Paris, il devient vite un artiste reconnu et expose en Europe, au Japon et aux Etats-Unis. Déjà, il utilise la photographie pour faire ses études préliminaires en peinture.

En 2000, il décide d’utiliser la photographie comme unique moyen d’expression. Il emprunte la technique du collage afin de modifier les images photographiques et d’articuler sa vision multidimensionnelle du monde. Les perspectives multiples, exprimées dans ses collages évoquent très clairement la phase analytique du Cubisme. Pablo Picasso, bien connu de Serge Mendjisky grâce aux activités de son père sur la scène artistique de l’époque, lui a dit que le Cubisme proprement dit serait pleinement atteint à travers la photographie. Serge Mendjisky a toujours gardé cette vision à l’esprit, et après de nombreuses années d’exploration technique, il a trouvé un moyen de questionner non seulement l’apparence du monde, mais aussi notre comportement perceptuel.

En décomposant et recomposant les horizons de certaines des plus célèbres cités du monde, tels New-York et Paris, Serge Mendjisky crée de nouveaux paysages urbains qui interrogent nos facultés perceptives.

Volumes, lumières et couleurs créent des rythmes visuels différents qui établissent de nouveaux rapports entre Temps et Espace. A travers l’objectif créatif de Serge Mendjisky, Broadway devient une explosion de lumières multicolores, tandis que le “Down Town” new-yorkais valse poétiquement aux sons d’un violoncelle. Des paysages urbains reconnaissables sont redéfinis et leur réalité reformulée devient tridimensionnelle.

CHHOUR

CHHOUR

CHHOUR Kaloon est né en 1968. Sa famille qui vit à Hong Kong est d’origine Chinoise de la province de Canton. Il est maintenant de nationalité française et il habite et a son atelier à Nice.

Après des études à l’Art Academy de Hong Kong, il suit des cours de peinture à Paris où il découvre et se passionne pour les Grands Maîtres impressionnistes, qui eux-mêmes s’étaient inspirés de l’Art Asiatique. Son style est au début figuratif mais celui-ci évolue rapidement vers l’impressionnisme et le fauvisme.

Il reste fidèle à ce style de nombreuses années mais à 35 ans, peu après son arrivée sur la Côte d’Azur, il évolue radicalement vers l’abstraction tout en conservant sa palette de couleurs fortes, la puissance du trait, l’harmonie des volumes, une calligraphie sous-jacente et la technique de la peinture à l’huile.

CHHOUR Kaloon aime les couleurs chaudes : le jaune, l’orange mais aussi les couleurs fortes comme le le noir, le rouge. De fait, ces peintures sont colorées, puissantes.

Ses toiles sont très techniques et structurées avec des glacis, du dripping, des coulages, l’utilisation des médiums, de différentes brosses et couteaux mais pour Kaloon CHHOUR tout cela n’est qu’un ensemble de moyens à la recherche de l’accord des volumes, des couleurs en privilégiant le ressenti sur la forme.

Kaloon CHHOUR expose dans de nombreuses Galeries en France et à l’étranger (SHANGAÏ – PARIS – NICE….)

Il est membre de Ambre International, de l’Académie des Beaux Arts de Provence Côte d’Azur et est Académicien de l’Accademia Internazionale Greci Marino.

Chhour est la révélation de l’abstraction poétique en combinant des influences impressionnistes et asiatiques.

Très renommé auprès des amateurs avertis, son travail est présent dans de nombreuses collections prestigieuses à travers le monde.

Kaloon CHHOUR fait l’objet récemment d’un article élogieux dans la prestigieuse Gazette Drouot artiste animé par un don rarissime pour l’harmonie des compositions et des couleurs, il nous offre une œuvre originale qui agit comme un miroir aux émotions.

Il est pressenti comme un des successeurs de Zao Wou-ki ou de Chu Teh-chun et dont la cote sur le marché ne fait que monter.

AIIROH

AIIROH

Né à Narbonne en 1987, Aiiroh est un artiste français qui peint et dessine depuis son plus jeune âge.
Sorti d’une école de dessin, il travaille quelques années en tant que graphiste en France et en Suisse.

L’artiste Aiiroh s’inspire des tendances Pop Art, New Pop Art et Street Art.

C’est à cette période qu’il a décidé de créer ses toiles utilisant des affiches publicitaires ou des éléments tout droit sortis de la rue.
Une de ses premières réalisations consistait à mettre en confrontation les héros de bande dessinée qui l’ont inspiré depuis sa plus jeune enfance.
Il détourne ainsi l’image que l’on peut avoir de ces personnages.
Dans certaines de ses œuvres, il intègre des marques pour rappeler la dépendance qu’a l’être humain aux produits de consommation.
La force graphique de ces grandes marques a elle aussi un effet sur notre inconscient collectif ainsi que sur nos codes esthétiques.
Dans la lignée de ses prédécesseurs Pop-art, Aiiroh utilise des techniques mixtes et actuelles, comme l’affichisme, le collage de cristaux Svarowsky, de la peinture acrylique, du pochoir, du gel.

Depuis quelques années, il se concentre sur la réinterprétation des figures emblématiques et les symboles de la pop à travers des affiches qu’il trouve dans les rues de Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Narbonne, à côté de ses anciens “points” graffiti.

Il est un artiste bien établi en France, en Suisse et États-Unis.

L’artiste AIIROH fait partie de cette nouvelle génération Néo pop Art.

Le Néo pop n’est pas un nouveau mouvement en soi mais plutôt une résurgence des travaux sur la culture populaire, et un moyen arrangeant de classer les différents artistes qui le constituent.

Cette trajectoire fonctionne comme les grands médias de divertissement, qui produisent des images et des icônes jetables, et tente de rivaliser avec eux.

Pourtant, le Néo pop se différencie sur certains points de son ainée. La société a changé, l’art aussi. Ses artistes cherchent à montrer comment le côté négatif du colonialisme culturel peut être transformé en « anomalies étrangement belles ». Leurs travaux sont le résultat et le reflet de la société de l’information globalisée.

Ainsi, il ne s’agit pas de transformer l’esthétique du quotidien en œuvre d’art mais plutôt de démontrer que l’art et la société de consommation, la culture populaire, sont au même niveau et peuvent coexister dans une même image.

C215

C215

C215

Christian Guémy alias C215 est un artiste français majeur de la scène du street art.

Agé de quarante ans, il habite Vitry-sur-Seine où il a ses ateliers. Il travaille essentiellement au pochoir avec un style très reconnaissable. En dehors de ses interventions dans les rues du monde entier, il présente des œuvres peintes sur objets de recyclage dans de nombreuses galeries, en France et à l’étranger.

Christian Guémy débute le pochoir en 2006. Il participe au MUR dès 2007 et réalise, en 2013, un mur peint de 25 mètres à Paris, métro Nationale, représentant un chat.

En 2013, il peint également le visage de la ministre de la Justice, Christiane Taubira, alors cible d’attaques racistes[1]. Connu au niveau international, Christian Guémy présente des œuvres peintes sur objets de recyclage dans de nombreuses galeries, en France et dans le monde.

En 2014 il est sollicité pour créer 20 illustrations pour le jeu Far Cry 4 d’Ubisoft.

En 2016, C215 « signe » un timbre pour la Poste qui met à l’honneur Léo Ferré. L’auteur, compositeur et interprète aurait fêté ses cent ans.

Ses sujets de prédilection sont l’enfance, les laissés-pour-compte, les anonymes, les amoureux, mais aussi les animaux (chiens, chats et oiseaux), particulièrement présents dans ses tableaux urbains. Son modèle principal est sa fille Nina, née en 2003.

Son style va de la bichromie aux compositions les plus colorées. Les dimensions de ses œuvres demeurent à l’échelle humaine, ne réalisant que rarement de murs peints de très grandes dimensions.

Fervent admirateur du Caravage, C215 veut mettre de la poésie et de l’émotion au cœur des villes désincarnées. Ses visages d’anonymes aux traits expressifs témoignent de son besoin de retrouver une certaine humanité.

« Mes œuvres placent des invisibles au rang des célébrités. À travers ces visages, je souhaite que les passants se confrontent à leur propre humanité.»

« L’art de C215 est de capter la lumière, la profondeur et l’humanité. C’est très difficile à réaliser au pochoir – son médium de prédilection – et rarement réussi. Cette technique a tendance en effet à aplatir les images et à les rendre statiques.

Au contraire, C215 a développé un style d’illustration et de découpe qui révèle la personnalité profonde de ses sujets, leur apportant un éclairage impressionniste.

Bien que sa technique soit méticuleuse, dans le sens le plus raffiné du terme, l’art de C215 transcende la forme pure et semble toucher l’essence même de l’âme humaine. C’est toujours un grand bonheur pour moi de croiser les oeuvres de C215 dans la rue.»
Shepard Fairey aka OBEY

Du 10 juillet au 8 octobre 2018, l’artiste urbain C215 donne des visages aux grandes figures honorées au Panthéon avec le parcours « Illustres ! C215 autour du Panthéon ».
Parcourez un itinéraire dans la crypte du Panthéon puis dans les rues du Ve arrondissement ! Vous entrerez dans les coulisses de création de C215 avant de sortir du monument pour découvrir les portraits de 28 personnalités.