MULHEM

MULHEM

Dominique Mulhem est né à Neuilly-sur-Seine le 13 juin 1952.

1975 : Formation à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.

Sa peinture fait référence à la culture pop art et Appropriation (art) par son inspiration. Sa technique fut au départ très pop art avec l’utilisation de la bombe et des pochoirs puis plus hyperréaliste avec l’utilisation de l’aérographe pour devenir un pointillisme contemporain.

Dominique Mulhem a été le premier artiste multimédia en inventant en 1979 l’holopeinture où il mélangeait la peinture à l’holographie. Il avait déjà travailler au début des années 70 sur différentes techniques de restitution de la 3D. Au-delà de sa forme très représentative, sa peinture est avant tout conceptuelle. Les thèmes en sont la vie des gens et des choses, sans limite dans les sujets traités. Toute l’œuvre de Dominique Mulhem a le même fil conducteur: le concept de la vision simultanée. “Le regard du dedans” comme disait Pierre Restany.

EXPOSITIONS INTERNATINOALES :
ALLEMAGNE, CHINE, COLOMBIE, COREE, DANEMARK, EGYPTE, ESPAGNE, ETATS-UNIS, GRECE, FRANCE, HONGRIE, ITALIE, LUXEMBOURG, MONACO, RUSSIE, SUISSE.
Rétrospective Dominique MULHEM 1972-2009, Ville d’Asnières-Sur-Seine, France.

PRESENCE DANS LES MUSEES :
Musée de l’Holographie, Paris, France.
Musée National Hongrois, Budapest, Hongrie.
Museum of Holography, Washington, Etats-Unis.
Musée et Centre des Arts de Zamalek, Le Caire, Egypte.

PRESENCE DANS LES SALONS INTERNATIONAUX

SCARIFICATIONS
Dominique Mulhem développe une suite de concepts étonnants, suite, analyse, actualisation, revisitation aucun de ces termes n’est faux mais aucun n’est vrai, le choix le plus approprié serait réflexion. Réflexion comme retour sur la pensée afin d’examiner plus à fond puis Réflexion comme une réfraction pour franchir une autre vitesse de propagation de l’histoire de l’art .

Dominique Mulhem soumet l’œuvre d’art à un infini déplacement dans l’espace et le temps. Dans les années 80 ses Portraits d’Artistes projetaient peintres et sculpteurs entre passé et futur offrant par les hologrammes une vision tridimensionnelle.

Dans les années 90 de son musée imaginaire , Pierre Restany écrivait: ” Des créatures de rêve devant une peinture de rêve ! devant ! c’est plutôt “Dans” que je devrais dire, car mon oeil s’est avéré incapable de faire la part des choses, d’effacer cette vision simultanée, d’en séparer les deux éléments”.

Dans les années 2000 Les Zones, voyages intemporels dans les mots et les phrases du poème de Guillaume Apollinaire. Chaque décennie Mulhem nous fait partager sa vision du monde. Aujourd’hui ses scarifications nous interpellent sur différentes caractéristiques de notre société face à la culture standardisée en objet de grande consommation. Entre nos désirs secrets de mutilation du regard sur l’œuvre et la scarification sociale qu’elle soit ethnique, tribale ou post moderne, ces incisions sur la peau de la toile signifient une appartenance révélée au monde le l’art en ouvrant un nouvel espace, une aération pour un besoin de respirer à nouveau.

Toute l’œuvre de Mulhem a le même fil conducteur: le concept de la vision simultanée.

RUBINSTEIN

RUBINSTEIN

Patrick RUBINSTEIN – KINETIC POP ART

Né en 1960 à Paris, Patrick Rubinstein est un artiste contemporain Français issu de l univers de la mode travaillant ses tableaux sur un concept d OPT ART, (Art Cinétique).

Grace à une technique innovante ses œuvres vous offres 3 vues différentes selon votre angle de vision vous procurant ainsi 3 fois plus d émotions.

Vous aimeriez retrouver les idoles de votre jeunesse ?… Patrick Rubinstein les met en scène pour vous en les associant par un jeu d’optique unique, à une autre image. Pour Michael Jackson ? Un graphe de « Beat It » en clin d’œil à son tube planétaire de 1982. Pour les Beatles ? L’Union Jack.

Pour les quatre géants des fifties, Spiderman, Betty Boop, Super Man et Marilyn ?… Les mêmes mais en couleurs ou en noir et blanc, selon l’angle de vue…

On est dans le pop et street art, la création ludique, dynamique et généreuse. Mais aussi dans l’op art, l’art optique qui se joue de tout et surtout de nous, pour notre grand plaisir.

Tout commence alors que Patrick Rubinstein est encore ado. Il aime l’art, la photo argentique et le cinétisme. Que choisir entre les trois ? Rien – c’est à dire tout.

Il coupe en lamelle une photo, l’intercale avec une autre, puis colle l’image recomposée sur un support, tente un pliage en accordéon et obtient une œuvre en relief. De face, l’image est double, les deux photos se superposent, mais vue de perspective, l’effet est bluffant. Selon l’angle, il n’apparait qu’une seule des deux images. Son concept en 3 D est né.

Ses premières créations sont réalisées à partir de portraits de ses proches. Une mère et son fils, un frère et sa sœur, un père et sa fille… Rapidement, son jeu visuel remporte un franc succès bien au-delà de son entourage. Il doit continuer – le tout est de savoir comment ?! Sa technique est encore trop artisanale pour supporter des créations plus sophistiquées, a fortiori en dimension XXL.

 

A découvrir en ligne : Le Catalogue Interactif des œuvres de  Patrick Rubinstein