Août 19, 2016
Né à Narbonne en 1987, Aiiroh est un artiste français qui peint et dessine depuis son plus jeune âge.
Sorti d’une école de dessin, il travaille quelques années en tant que graphiste en France et en Suisse.
L’artiste Aiiroh s’inspire des tendances Pop Art, New Pop Art et Street Art.
C’est à cette période qu’il a décidé de créer ses toiles utilisant des affiches publicitaires ou des éléments tout droit sortis de la rue.
Une de ses premières réalisations consistait à mettre en confrontation les héros de bande dessinée qui l’ont inspiré depuis sa plus jeune enfance.
Il détourne ainsi l’image que l’on peut avoir de ces personnages.
Dans certaines de ses œuvres, il intègre des marques pour rappeler la dépendance qu’a l’être humain aux produits de consommation.
La force graphique de ces grandes marques a elle aussi un effet sur notre inconscient collectif ainsi que sur nos codes esthétiques.
Dans la lignée de ses prédécesseurs Pop-art, Aiiroh utilise des techniques mixtes et actuelles, comme l’affichisme, le collage de cristaux Svarowsky, de la peinture acrylique, du pochoir, du gel.
Depuis quelques années, il se concentre sur la réinterprétation des figures emblématiques et les symboles de la pop à travers des affiches qu’il trouve dans les rues de Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Narbonne, à côté de ses anciens “points” graffiti.
Il est un artiste bien établi en France, en Suisse et États-Unis.
L’artiste AIIROH fait partie de cette nouvelle génération Néo pop Art.
Le Néo pop n’est pas un nouveau mouvement en soi mais plutôt une résurgence des travaux sur la culture populaire, et un moyen arrangeant de classer les différents artistes qui le constituent.
Cette trajectoire fonctionne comme les grands médias de divertissement, qui produisent des images et des icônes jetables, et tente de rivaliser avec eux.
Pourtant, le Néo pop se différencie sur certains points de son ainée. La société a changé, l’art aussi. Ses artistes cherchent à montrer comment le côté négatif du colonialisme culturel peut être transformé en « anomalies étrangement belles ». Leurs travaux sont le résultat et le reflet de la société de l’information globalisée.
Ainsi, il ne s’agit pas de transformer l’esthétique du quotidien en œuvre d’art mais plutôt de démontrer que l’art et la société de consommation, la culture populaire, sont au même niveau et peuvent coexister dans une même image.
Août 19, 2016
RAYA SORKINE EST UN PEINTRE FRANÇAIS.
Alain-François Bouvier de Cachard est né en 1936 à Paris.
Son nom d’artiste est Raya Sorkine, nom et prénom de sa mère. Cette dernière, émigrée russe juive, lui a transmis sa culture sémite et slave. Il vit donc sous une culture juive joyeuse, rythmée par des fêtes et musiques traditionnelles ; dont les couleurs, les événements et l’ambiance résonnent dans ses toiles.
Sa culture est donc l’influence essentielle.
Mais nous observons bien que son travail est synonyme de mixité, développée dès son enfance, bercée par de nombreux voyages et guerres. En grandissant, il continue les voyages à travers l’Europe, et traduit dans son travail toutes ses connaissances du monde : c’est la différence culturelle qui le fait grandir, lui et son œuvre.
En se plongeant totalement dans la peinture à 22 ans, il n’avait aucune relation qui pouvait l’aider dans sa démarche. Pendant plus de dix ans, Raya Sorkine a connu la misère : « une toile de tente était mon luxe ».
Après ses voyages et sa culture, sa troisième source d’inspiration est la femme. Ses quatre femmes et ses sept filles seront toutes ses muses.
Les peintures de Raya Sorkine sont peuplées de contrastes. Même si les yeux des personnages traduisent l’horreur de l’époque (avec la Shoah par exemple), les couleurs chantent l’hymne à la vie : du jaune, du rouge, du vert… Elles traduisent un optimisme serein.
Depuis 1962, il expose dans des galeries ou musées, aussi bien en France qu’à l’étranger (Allemagne, Japon, Etats-Unis…).
A l’âge de douze ans, il quitte l’école et, à peine âgé de quatorze ans, muni d’un petit carnet à dessin, il part sur les routes comme un nomade. Raya dort à la belle étoile. L’Europe, la Scandinavie, le Moyen-Orient…
Raya Sorkine va partout, en dessinant ou en peignant. Plus tard il achète une caravane pour poursuivre ses voyages. Le long de sa vie errante qui dure près de vingt ans, il disperse dans le monde ses nombreux tableaux, il épouse quatre femmes dont il a sept filles.
Aujourd’hui, grand-père de quatre petits-enfants, le peintre n’a rien perdu de sa primitivité ni de son mysticisme universaliste. Dans sa maison du Sud de la France, il aime à lire des textes du Zohar ou de la kabbale.
Il peint la nuit en écoutant “sa musique” (cosmique ou religieuse). Sa peinture est profondément slave et profondément juive.
Inscrit au Bénézit depuis 1971, Raya Sorkine est présent dans tous les guides internationaux et sa cote est régulièrement confirmée par des enchères de Drouot, Versailles, Genève, Londres…
Août 19, 2016
Mr Live est un artiste plasticien né en 1968 à Lille.
Sa vie professionnelle débute par le commerce : elle est dominée par un ennui profond. En effet, c’est l’Art qui le passionne et le transcende. C’est une rencontre avec l’artiste David Cintract, à l’origine du mouvement Pop Libre qui va bouleverser sa vie et l’encourager à assumer sa vocation d’artiste. Il lui conseille de « devenir l’artiste de son existence ». C’est ce que Mr Live va s’acharner à faire, de manière totalement autodidacte.
Peintre et plasticien, il exerce son art à travers différents supports, comme des palissades de bois peintes à l’aérosol. Il s’inspire largement de la pop culture contemporaine, et en particulier de l’univers des superhéros.
Passionné depuis son enfance par l’univers des artistes et leurs œuvres, Philippe Clairé s’ennui dans son costume de commerçant.
Lors de sa rencontre avec l’artiste David Cintract sa vie prend un tournant radical lorsque l’initiateur du mouvement Pop Libre lui dit « devient l’artiste de ton existence ».
Grâce à une amitié forte entre les deux individus et un travail acharné, il passe de la sculpture au pictural. Il devient l’heureux Mr Live.
ESPACE POP LIBRE :
David Cintract et Mr Live
« L’Espace Pop Libre Concept est un lieu entièrement dédié au travail de l’artiste David Cintract. Artiste français contemporain et initiateur du mouvement “Pop Libre” et bien plus qu’un mouvement : un état d’esprit (Art de vivre). Il s’inspire de l’actualité, du quotidien, du cinéma, de la BD pour mieux mixer ses envies. Il utilise diverses techniques (photo, inclusion d’objets divers, huile, acrylique…) et technologies nouvelles (digigraphie) qu’il maîtrise parfaitement. L’espace est principalement ouvert aux professionnels mais également aux particuliers qui souhaitent découvrir les œuvres de l’artiste. L’espace présente également l’artiste “Mr Live” parrainé par David Cintract. Pluridisciplinaire, il crée palissades avec vidéos, sons mais aussi sculptures. »
Août 19, 2016
CHHOUR Kaloon est né en 1968. Sa famille qui vit à Hong Kong est d’origine Chinoise de la province de Canton. Il est maintenant de nationalité française et il habite et a son atelier à Nice.
Après des études à l’Art Academy de Hong Kong, il suit des cours de peinture à Paris où il découvre et se passionne pour les Grands Maîtres impressionnistes, qui eux-mêmes s’étaient inspirés de l’Art Asiatique. Son style est au début figuratif mais celui-ci évolue rapidement vers l’impressionnisme et le fauvisme.
Il reste fidèle à ce style de nombreuses années mais à 35 ans, peu après son arrivée sur la Côte d’Azur, il évolue radicalement vers l’abstraction tout en conservant sa palette de couleurs fortes, la puissance du trait, l’harmonie des volumes, une calligraphie sous-jacente et la technique de la peinture à l’huile.
CHHOUR Kaloon aime les couleurs chaudes : le jaune, l’orange mais aussi les couleurs fortes comme le le noir, le rouge. De fait, ces peintures sont colorées, puissantes.
Ses toiles sont très techniques et structurées avec des glacis, du dripping, des coulages, l’utilisation des médiums, de différentes brosses et couteaux mais pour Kaloon CHHOUR tout cela n’est qu’un ensemble de moyens à la recherche de l’accord des volumes, des couleurs en privilégiant le ressenti sur la forme.
Kaloon CHHOUR expose dans de nombreuses Galeries en France et à l’étranger (SHANGAÏ – PARIS – NICE….)
Il est membre de Ambre International, de l’Académie des Beaux Arts de Provence Côte d’Azur et est Académicien de l’Accademia Internazionale Greci Marino.
Chhour est la révélation de l’abstraction poétique en combinant des influences impressionnistes et asiatiques.
Très renommé auprès des amateurs avertis, son travail est présent dans de nombreuses collections prestigieuses à travers le monde.
Kaloon CHHOUR fait l’objet récemment d’un article élogieux dans la prestigieuse Gazette Drouot artiste animé par un don rarissime pour l’harmonie des compositions et des couleurs, il nous offre une œuvre originale qui agit comme un miroir aux émotions.
Il est pressenti comme un des successeurs de Zao Wou-ki ou de Chu Teh-chun et dont la cote sur le marché ne fait que monter.
Août 19, 2016
Laurence Nolleau – ART EMOTION
Elle excelle dans l’art du portrait contemporain incisif…
Née en 1963, Laurence NOLLEAU a voyagé dès son plus jeune âge et a découvert, à travers les déplacements professionnels de ses parents, la lumière du Moyen Orient et celle de l’Afrique du Nord.
Une escale qui s’éternise en Algérie fera naître une profonde amitié entre la famille de Laurence et Joan Bachs artiste peintre espagnol et ancien conservateur du musée de Barcelone.
Laurence Nolleau, alors âgée de 6 ans est déjà passionnée par le dessin. Nul doute que cette rencontre aura été déterminante dans son parcours.
Son attrait pour l’art se manifeste dans un premier temps par le dessin. De retour en France, Laurence suit une double formation de styliste-modéliste à ESMOD PARIS, où elle reçoit des mains de Jean-Louis DUMAS-HERMES, le 3ème prix de modelisme.
Elle obtient son premier apprentissage chez DIOR en 1987, des missions à l’étranger pour le groupe BOUSSAC et travaille en collaboration avec des marques françaises comme Caviar, Zapa, ……
Sa carrière est assise lorsqu’elle devient directrice des Collections Europe d’une marque Australienne, poste qu’elle occupera jusqu’en 2001.
En 2002 c’est le tournant, Laurence décide de laisser libre court à sa vocation artistique et quitte le domaine de la mode pour s’enfermer dans son atelier de peinture.
Ce n’est qu’après 8 ans d’exploration et de technique que l’artiste décide de proposer son travail aux galeristes.
L’huile, une révélation, matière mémoire qui garde trace de chaque geste de l’artiste qui incise, découpe, caresse, racle la peinture sur la toile.
Armée de son couteau, Laurence sculpte avec énergie ses visages pour nous livrer des œuvres percutantes et graphiques. Les couleurs sont vives et intenses, les regards hypnotiques, les portraits saisissants : l’expressionisme prend ici tout son sens.
« La vérité sans compromis a toujours des bords déchiquetés » disait l’écrivain américain Herman Melville.