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NOVARINO

NOVARINO

Fabien Novarino est né en 1963 à Chambéry.

Son enfance est toute entière marquée par les Beaux-Arts. Il passe son temps à dessiner, colorier, peindre, découper, modeler, ses parents lui fournissant sans cesse de nouveaux matériaux pour étancher sa soif de création.

A l’âge de 7 ans, la famille s’installe dans le sud. Après avoir cultivé un monde intérieur très riche, sa curiosité va s’ouvrir sur le monde extérieur et en premier lieu les paysages qui l’entourent : la rade de Marseille et les collines calcaires dont le graphisme l’impressionne. La lumière qui le saisit marque définitivement la sensibilité du jeune artiste qui commence à s’exprimer personnellement. Ses études littéraires le conduisent à Paris où il fréquente les expositions du Grand-Palais – où il exposera dix ans plus tard – les Galeries du Marais, de la rue du Faubourg Saint-Honoré et les musées de la Capitale.

Fabien Novarino commence alors une recherche de sa manière, toujours en mouvement, personnalise sa palette et cherche des cadrages originaux. Son travail est rapidement remarqué par les collectionneurs et les galeries qui lui proposent ses premières expositions personnelles.

Il expose à travers toute la France. Ses œuvres sont présentes dans les collections privées françaises et européennes mais également aux Etats-Unis, au Canada, dans de nombreux pays d’Afrique et en Australie

D’abord proche de l’École Provençale, il réalise de nombreuses toiles aux sujets figuratifs divers, allant des paysages de sa région aux représentations de scènes de la vie quotidienne. Les couleurs sont vives, le geste expressif. Il élargira ensuite son champ d’exploration en portant son regard en direction de lieux résolument différents, aux contrastes marqués, tels que New York, Paris ou encore le Maroc.

Depuis 2010, Fabien Novarino intègre la photographie dans ses œuvres, faisant évoluer son travail pictural vers un langage plus contemporain.

À partir de clichés personnels ou professionnels acquis en agences, Fabien Novarino conçoit des oeuvres graphiques originales qui relèvent du style Néo Pop – digne héritier du mouvement Pop Art né dans les années 50.

Réalisées à partir d’un subtil mélange de collages, dessins et pochoirs, ses toiles s’inspirent des icônes du cinéma américain et français, de l’urbanisme moderne et de l’univers des Comics. Fermement actuel, son art est un bel hommage à la société du divertissement.

Fabien NOVARINO est un artiste toujours en mouvement, aimé et reconnu par un nombre sans cesse croissant d’amateurs. Il faut découvrir son univers de lumière et de couleurs pour comprendre tout l’attrait suscité par son travail.

SALONS A PARIS :

1991.92 : Salon d’Automne – Grand Palais
1993 : Salon des Artistes Français – Grand Palais
1993 : Salon des Indépendants – Grand Palais

EXPOSITIONS DE GROUPE EN FRANCE ET A L’ETRANGER :

Saint Rémy de Provence – Bordeaux – Carry le Rouet – Mulhouse – Nancy – Dijon – Orléans – Mougins.
Rome – Londres – Montréal – New York – Hong Kong – Portland – Berlin – Genève

COLLECTIONS A L’ETRANGER :

Suisse – Grande Bretagne – Italie – Pays-Bas – Luxembourg – Allemagne – Russie – Canada – Brésil – Argentine – Australie – Japon – Etats-Unis – Afrique du Sud – Japon – Chine – Belgique – Pologne – Hongrie – Lituanie – Israël –  Maroc – Togo

 

COLLECTIONS PUBLIQUES :

Musée d’Histoire et de Peinture Provençale – Sainte Maxime – Var

Musée de Carry Le Rouet 

« Auteur d’huiles sur toile figuratives depuis plus de 20 ans, ma création s’oriente depuis 2010 vers le Néo Pop Art, avec la création d’œuvres numériques à base de photos personnelles ou acquises en agence ainsi que les licences adéquates s’agissant de personnages célèbres, de dessins personnels, de collages photographiés, imprimés ensuite sur aluminium Dibond blanc. Au format carré, s’ajoutent des pièces découpées, toujours sur aluminium, encore plus contemporain et pop.

Mes sujets de prédilection, outre l’urbanisme sont les icones du cinéma américain des années 50 et 60 et les stars du cinéma français et les Comics. La vanité, accommodée de messages ou de références est également un sujet d’inspiration.

« C’est l’occasion pour moi de renouer avec une autre de mes passions de jeunesse : la photographie. J’ai commencé à faire des photos et du tirage noir et blanc au collège. J’ai travaillé ensuite vers 20 ans chez un photographe de publicité pendant deux ans. J’ai même collaboré avec une agence de presse pendant mes études à Paris »

Fabien Novarino

KLASEN

KLASEN

Peter Klasen est né à Lubeck, Allemagne en 1935.
Vit et travaille en France.

De 1956 à 1959, Peter Klasen étudie à l’école des Beaux Arts de Berlin. En 1959, lauréat du prix du mécennat de l’industrie allemande, il obtient une bourse d’études et s’installe à Paris.

Peter Klasen est dans les années 60, un des fondateurs du mouvement artistique nommé Nouvelle figuration ou figuration narrative. Il élabore alors un langage plastique personnel, en explorant et reinterpretant les signes de notre environnement urbain, et plus généralement de notre société.

La thématique industrielle marque profondément son œuvre. On retrouve ainsi dans les peintures de Peter Klasen, des éléments tels que manomètres, tôles d’engins de travaux publics, verrous métalliques, bâches de camion.. Sont également présents des logos, des chiffres et des photos issues de magazines ou d’affiches.

Peintre de l’urbanité bétonnée et métallique, Peter Klasen explore les abîmes et les vertiges d’une société déshumanisée. Ses œuvres sont présentes dans plus de 60 musées et collections publiques à travers le monde.

Ses oeuvres ont fait l’objet de nombreuses monographies.

“La peinture me libère de mes angoisses”

Qu’est-ce qui vous pousse à peindre?? Un moteur qui est en route et tourne tout seul, comme une Volkswagen. Bon, c’est pas vraiment le bon exemple, en ce moment, avec les problèmes de la marque…

Photographie. La photo nourrit mon futur travail. Je pars de mes voyages et je fais le tri à l’atelier. À partir de ce matériel, je développe de nouvelles thématiques. Photographier la réalité n’est pas la réduire mais la sublimer. Il s’agit d’une investigation du réel à travers l’objectif. Le gros plan limite notre champ de vision et focalise notre attention.

Langage. J’ai développé un langage anticorps qui résiste à l’agression permanente qu’exerce sur moi le monde extérieur. C’est le résumé de toute ma vie. La résistance nécessaire pour faire face à la menace individuelle et collective que nous subissons.

BOUCHEIX

BOUCHEIX

François Boucheix est né le 7 janvier 1940 à Montcheneix, petit village aux pieds des Monts d’Auvergne. Il commence à dessiner très jeune. Orphelin de père à 15 ans, il doit apprendre un métier différent de ses aspirations artistiques. Malgrè le travail intense de la journée, il occupe le soir et une partie de ses nuits à peindre, ainsi que ses jours de liberté.

A 17 ans, surveillant chez les maristes à Riom, il a comme voisin de chambre le peintre Jean de Rocca Serra, prix de Rome et ancien professeur à l’école des Beaux Arts de Florence, qui lui apprend la peinture pendant un an.

Il fit sa première exposition en février 1960 en Tunisie, puis en province notamment en Auvergne et dans le sud de la France. Quatre années passées à Chamonix, où il lit une annonce dans un journal national, la galerie de Sèvres cherche des peintres. Il répond à l’annonce en envoyant des photographies, et quelques temps après il apprend qu’il est retenu.

Il se manifeste à Paris en 1963 lors d’une grande exposition à la Galerie de Sèvres ou il rencontre Bernard Bellaïche. De 1966 à 1972 il expose régulièrement dans cette galerie notamment avec Lebasque, Othon Friez, Dignimont, Crau Salaboudet, Madeleine Luka, Marie Laurencin et les peintures de Foujita et Salvador Dali.

François Boucheix offre une vision surréaliste du monde par la totale liberté de sa richesse inventive et un don d’émerveillement que garde intact sa fidélité à ses racines et à sa terre d’Auvergne.[non neutre]

Avec Bernard Bellaïche il rencontre Salvador Dali et, ce jour là tout a changé. Dali lui dira « votre peinture est bonne … d’ailleurs elle plait à Gala. »

C’est à la suite d’une célèbre exposition à la galerie de Sèvres à Paris de “Dali à Boucheix” avec les peintures de Meissonnier qu’il décide qu’il sera un peintre surréaliste de rêve et de bonheur et non un surréaliste triste.

Musée François Boucheix 

SPARK

SPARK

Benjamin Spark est un artiste peintre français, né en 1969. Il vit et travaille actuellement à Bruxelles.

A l’âge de 28 ans, Spark s’inscrit aux Beaux-Arts de Paris puis s’envole aux Etats-Unis pour trouver son inspiration. Il revient ensuite s’installer en Belgique pour perfectionner son style. Il se consacre entièrement à son art.

Il s’inspire des médias de masse, de la caricature, de la publicité, et surtout de la bande-dessinée. Il s’inscrit directement dans la lignée du mouvement Pop Art, et plus spécifiquement du Pop Art bruxellois. Il s’agit d’un mélange atypique entre l’art urbain européen et les influences de l’AMERICAN WAY OF LIFE.

Il a développé ses propres techniques ainsi qu’une habileté bien particulière, avec des compositions très abouties. Spark se nourrit du monde qui l’entoure pour recréer son propre univers débordant d’humour. Par la peinture, il exprime ses sentiments et son ressenti envers le monde. Rafraîchissantes, ses œuvres annoncent un nouveau tournant dans le Pop Art.

Ses œuvres ont évolué avec le temps, notamment suite à l’arrivée d’internet, qui modifiera les conventions autrefois établies par l’art.

Depuis 2007, Spark expose ses œuvres à Paris, Bruxelles, Düsseldorf, New York, Marrakech et bien plus encore.

Benjamin Spark est un artiste majeur sur la scène francophone de l’art urbain néo-pop.

Démarche :

De son œuvre va surgir un patchwork complexe influencé par la figuration narrative, le graffiti, le tag, le manga et le Pop Art. Le tout pour des compositions couchées sur toile dans lesquelles s’imposent des icônes graphiques contemporaines.

Sa culture artistique est à la hauteur de son parcours.

En copiant les images de notre culture populaire l’artiste ne s’intéresse pas à la reproduction en tant que telle mais aux souvenirs et aux croyances qui y sont associées. C’est une réappropriation sensible de l’industrie de l’imaginaire.

L’artiste précise : « Ce qui m’intéresse, c’est ce que produisent les images, ce que produisent les formes. Chaque oeuvre est une trajectoire propre. »

CINTRACT

CINTRACT

David Cintract est né en 1970.

A mi-chemin entre Warhol et Lichtenstein, l’artiste projette sa vision de la société de consommation sur tous supports: toiles, poupées ou mannequins de vitrine.

Tout en rendant hommage aux grands artistes Pop, David Cintract a su se démarquer grâce à sa forte personnalité en devenant une figure incontournable du mouvement dont il est le fondateur : “Le Pop Libre”.

David Cintract a une fascination pour la sculpture exubérante et le stockage des œuvres façon « caverne d’Ali Baba ».

S’inspirant de l’actualité et des sujets de société, son œuvre porte en elle toute l’ambiguïté d’un univers artistique décalé et enfantin, à l’optimisme teinté de tragédie.

Gaieté des couleurs et motifs, pétillance et joie communicative, mais aussi profondeur des questionnements et symboles, telle est la marque de fabrique de David Cintract qui refuse la facilité et pose de discrètes correspondances entre des forces très poétiques et des pulsions plus sombres.

Au moyen de techniques aussi diverses que l’huile, la photo, l’inclusion ou la digigraphie, il développe sur tous supports (toiles, mannequins, voitures …) plusieurs thématiques au cœur de notre société postmoderne :

-L’homme face à une consommation effrénée et frivole
-La place des fantasmes et jeux érotiques adultes
-La perte de notre part d’enfance dans une société qui ne croit plus aux rêves

David Cintract expose à travers le monde, et, grâce à son langage artistique universel, nourrit des échanges profonds avec des publics issus de toutes les origines et de toutes les cultures.

Interview de DAVID CINTRACT par Mr LIVE :

« Mon art règne en moi, mais ne me gouverne pas »

DJ de l’image et de la matière, David Cintract se définit comme un artiste existentiel visuel et tactile.
Polysensoriel, il passe avec une aisance déconcertante des techniques traditionnelles de peinture aux technologies modernes telles que la digigraphie, la photographie, l’inclusion d’objets divers/de jouets…
Au travers de ses mannequins qu’il « dandyse », de ses Mutantoy’s et Candy‐Box, il fabrique de l’individualité dans le manufacturé, et dépose sa poésie dans les objets de séries.

Q : « Est‐ce qu’être artiste est une évidence pour toi » ?

L’art et la philosophie sont pour moi les meilleurs moyens d’esthétiser mon existence. Grâce à ces deux moyens d’expression et de réflexion, j’ai ainsi pu optimiser mon optimisme tragique et inverser la tendance névrotique générale des oeuvres contemporaines. Mon souhait est de traiter de sujets de société ou d’actualité plus ou moins graves, et d’en tenter une retranscription démocratique et positive. C’est pour moi une façon ludique de jouer avec les images et les objets futiles qui rappellent l’enfance, avec en filigrane le constat d’une obsession du rapport que nous avons avec une consommation frivole, nourrie par une publicité sans cesse renouvelée. Ce travail m’amène d’ailleurs à me demander si le bonheur ne se serait pas épuisé dans le plaisir de la consommation.