MR LIVE

MR LIVE

Mr Live est un artiste plasticien né en 1968 à Lille.

Sa vie professionnelle débute par le commerce : elle est dominée par un ennui profond. En effet, c’est l’Art qui le passionne et le transcende. C’est une rencontre avec l’artiste David Cintract, à l’origine du mouvement Pop Libre qui va bouleverser sa vie et l’encourager à assumer sa vocation d’artiste. Il lui conseille de « devenir l’artiste de son existence ». C’est ce que Mr Live va s’acharner à faire, de manière totalement autodidacte.

Peintre et plasticien, il exerce son art à travers différents supports, comme des palissades de bois peintes à l’aérosol. Il s’inspire largement de la pop culture contemporaine, et en particulier de l’univers des superhéros.

Passionné depuis son enfance par l’univers des artistes et leurs œuvres, Philippe Clairé s’ennui dans son costume de commerçant.

Lors de sa rencontre avec l’artiste David Cintract sa vie prend un tournant radical lorsque l’initiateur du mouvement Pop Libre lui dit « devient l’artiste de ton existence ».

Grâce à une amitié forte entre les deux individus et un travail acharné, il passe de la sculpture au pictural. Il devient l’heureux Mr Live.

ESPACE POP LIBRE :

David Cintract et Mr Live

« L’Espace Pop Libre Concept est un lieu entièrement dédié au travail de l’artiste David Cintract. Artiste français contemporain et initiateur du mouvement “Pop Libre” et bien plus qu’un mouvement : un état d’esprit (Art de vivre). Il s’inspire de l’actualité, du quotidien, du cinéma, de la BD pour mieux mixer ses envies. Il utilise diverses techniques (photo, inclusion d’objets divers, huile, acrylique…) et technologies nouvelles (digigraphie) qu’il maîtrise parfaitement. L’espace est principalement ouvert aux professionnels mais également aux particuliers qui souhaitent découvrir les œuvres de l’artiste. L’espace présente également l’artiste “Mr Live” parrainé par David Cintract. Pluridisciplinaire, il crée palissades avec vidéos, sons mais aussi sculptures. »

NOLLEAU

NOLLEAU

Laurence Nolleau – ART EMOTION

Elle excelle dans l’art du portrait contemporain incisif…

Née en 1963, Laurence NOLLEAU a voyagé dès son plus jeune âge et a découvert, à travers les déplacements professionnels de ses parents, la lumière du Moyen Orient et celle de l’Afrique du Nord.

Une escale qui s’éternise en Algérie fera naître une profonde amitié entre la famille de Laurence et Joan Bachs artiste peintre espagnol et ancien conservateur du musée de Barcelone.

Laurence Nolleau, alors âgée de 6 ans est déjà passionnée par le dessin. Nul doute que cette rencontre aura été déterminante dans son parcours.

Son attrait pour l’art se manifeste dans un premier temps par le dessin. De retour en France, Laurence suit une double formation de styliste-modéliste à ESMOD PARIS, où elle reçoit des mains de Jean-Louis DUMAS-HERMES, le 3ème prix de modelisme.

Elle obtient son premier apprentissage chez DIOR en 1987, des missions à l’étranger pour le groupe BOUSSAC et travaille en collaboration avec des marques françaises comme Caviar, Zapa, ……

Sa carrière est assise lorsqu’elle devient directrice des Collections Europe d’une marque Australienne, poste qu’elle occupera jusqu’en 2001.

En 2002 c’est le tournant, Laurence décide de laisser libre court à sa vocation artistique et quitte le domaine de la mode pour s’enfermer dans son atelier de peinture.

Ce n’est qu’après 8 ans d’exploration et de technique que l’artiste décide de proposer son travail aux galeristes.

L’huile, une révélation, matière mémoire qui garde trace de chaque geste de l’artiste qui incise, découpe, caresse, racle la peinture sur la toile.

Armée de son couteau, Laurence sculpte avec énergie ses visages pour nous livrer des œuvres percutantes et graphiques. Les couleurs sont vives et intenses, les regards hypnotiques, les portraits saisissants : l’expressionisme prend ici tout son sens.

« La vérité sans compromis a toujours des bords déchiquetés » disait l’écrivain américain Herman Melville.

SEGUIN

SEGUIN

Nathalie SEGUIN est née à Angers en 1964.

Fille d’un artiste peintre, elle a toujours aimé transformer la matière : soie, bois…Et c’est le travail de la terre qui lui a permis de retirer le plus d’émotion, de mouvement, et de sincérité.

Reconnue pour ses danseuses, le mouvement est toujours au bord de la rupture d’équilibre.

De plus , les patines de couleurs et de textures différentes pour le corps et la robe renforcent cette impression de tourbillon.

Nathalie SEGUIN a reçu de nombreux premiers prix et distinctions :

Prix du Ministre à Saint Germain les Corbeils mai 2011

Médaille d’argent de l’Académie Arts-Sciences et Lettre juin 2010

Premer prix de sculpture du salon Art expo Joinville-le-Pont avril 2010

Premier prix du Lions Club de Draveil mars 2010

Prix de sculpture du 45 ème salon du Vésinet mars 2010

Invitée d’honneur au salon de Maison-Alfort mai 2009

Invitée d’honneur au 32 ème salon artistique Florentais mars 2009

1er prix de sculpture de la ville de Villemomble mars 2009

Invitée d’honneur 8eme salon des artistes joinvillais oct 2008

Prix du public salon d’Alforville janv 2008

Médaille d’Or du 7eme salon des artistes joinvillais nov 2007

1er prix de sculpture 2007 de a ville de Maison-Alfort

Médailles d’argent au de Joinville-le-pont (2005 et 2006)

1er Prix du Public au Salon des Artistes joinvillais (2004)

1er prix de sculpture de la ville de Saint Maur des Fosses (2004)

C215

C215

C215

Christian Guémy alias C215 est un artiste français majeur de la scène du street art.

Agé de quarante ans, il habite Vitry-sur-Seine où il a ses ateliers. Il travaille essentiellement au pochoir avec un style très reconnaissable. En dehors de ses interventions dans les rues du monde entier, il présente des œuvres peintes sur objets de recyclage dans de nombreuses galeries, en France et à l’étranger.

Christian Guémy débute le pochoir en 2006. Il participe au MUR dès 2007 et réalise, en 2013, un mur peint de 25 mètres à Paris, métro Nationale, représentant un chat.

En 2013, il peint également le visage de la ministre de la Justice, Christiane Taubira, alors cible d’attaques racistes[1]. Connu au niveau international, Christian Guémy présente des œuvres peintes sur objets de recyclage dans de nombreuses galeries, en France et dans le monde.

En 2014 il est sollicité pour créer 20 illustrations pour le jeu Far Cry 4 d’Ubisoft.

En 2016, C215 « signe » un timbre pour la Poste qui met à l’honneur Léo Ferré. L’auteur, compositeur et interprète aurait fêté ses cent ans.

Ses sujets de prédilection sont l’enfance, les laissés-pour-compte, les anonymes, les amoureux, mais aussi les animaux (chiens, chats et oiseaux), particulièrement présents dans ses tableaux urbains. Son modèle principal est sa fille Nina, née en 2003.

Son style va de la bichromie aux compositions les plus colorées. Les dimensions de ses œuvres demeurent à l’échelle humaine, ne réalisant que rarement de murs peints de très grandes dimensions.

Fervent admirateur du Caravage, C215 veut mettre de la poésie et de l’émotion au cœur des villes désincarnées. Ses visages d’anonymes aux traits expressifs témoignent de son besoin de retrouver une certaine humanité.

« Mes œuvres placent des invisibles au rang des célébrités. À travers ces visages, je souhaite que les passants se confrontent à leur propre humanité.»

« L’art de C215 est de capter la lumière, la profondeur et l’humanité. C’est très difficile à réaliser au pochoir – son médium de prédilection – et rarement réussi. Cette technique a tendance en effet à aplatir les images et à les rendre statiques.

Au contraire, C215 a développé un style d’illustration et de découpe qui révèle la personnalité profonde de ses sujets, leur apportant un éclairage impressionniste.

Bien que sa technique soit méticuleuse, dans le sens le plus raffiné du terme, l’art de C215 transcende la forme pure et semble toucher l’essence même de l’âme humaine. C’est toujours un grand bonheur pour moi de croiser les oeuvres de C215 dans la rue.»
Shepard Fairey aka OBEY

Du 10 juillet au 8 octobre 2018, l’artiste urbain C215 donne des visages aux grandes figures honorées au Panthéon avec le parcours « Illustres ! C215 autour du Panthéon ».
Parcourez un itinéraire dans la crypte du Panthéon puis dans les rues du Ve arrondissement ! Vous entrerez dans les coulisses de création de C215 avant de sortir du monument pour découvrir les portraits de 28 personnalités.

BOUCHEIX

BOUCHEIX

François Boucheix est né le 7 janvier 1940 à Montcheneix, petit village aux pieds des Monts d’Auvergne. Il commence à dessiner très jeune. Orphelin de père à 15 ans, il doit apprendre un métier différent de ses aspirations artistiques. Malgrè le travail intense de la journée, il occupe le soir et une partie de ses nuits à peindre, ainsi que ses jours de liberté.

A 17 ans, surveillant chez les maristes à Riom, il a comme voisin de chambre le peintre Jean de Rocca Serra, prix de Rome et ancien professeur à l’école des Beaux Arts de Florence, qui lui apprend la peinture pendant un an.

Il fit sa première exposition en février 1960 en Tunisie, puis en province notamment en Auvergne et dans le sud de la France. Quatre années passées à Chamonix, où il lit une annonce dans un journal national, la galerie de Sèvres cherche des peintres. Il répond à l’annonce en envoyant des photographies, et quelques temps après il apprend qu’il est retenu.

Il se manifeste à Paris en 1963 lors d’une grande exposition à la Galerie de Sèvres ou il rencontre Bernard Bellaïche. De 1966 à 1972 il expose régulièrement dans cette galerie notamment avec Lebasque, Othon Friez, Dignimont, Crau Salaboudet, Madeleine Luka, Marie Laurencin et les peintures de Foujita et Salvador Dali.

François Boucheix offre une vision surréaliste du monde par la totale liberté de sa richesse inventive et un don d’émerveillement que garde intact sa fidélité à ses racines et à sa terre d’Auvergne.[non neutre]

Avec Bernard Bellaïche il rencontre Salvador Dali et, ce jour là tout a changé. Dali lui dira « votre peinture est bonne … d’ailleurs elle plait à Gala. »

C’est à la suite d’une célèbre exposition à la galerie de Sèvres à Paris de “Dali à Boucheix” avec les peintures de Meissonnier qu’il décide qu’il sera un peintre surréaliste de rêve et de bonheur et non un surréaliste triste.

Musée François Boucheix