Août 19, 2016
Laurent PARCELIER est né en 1962 à Chamalières. Après avoir étudié aux Arts Appliqués Duperré à Paris, il se lance dans la bande dessinée. Il publie 8 albums chez Casterman. Parallèlement il commence à se consacrer à la peinture, ce qu’il fait exclusivement depuis 1996. Depuis cette date, après plusieurs salons et expositions, il expose dans plusieurs galeries en France et aux USA.
S’il faut deux mots, et pas un de plus pour définir l’oeuvre de Laurent PARCELIER, ce serait poésie et lumière. Auxquels on peut ajouter, luxe, calme, et volupté, amour de la nature, des lieux paisibles et des atmosphères familiales chaleureuses.
Poète de la lumière, ce poète l’est assurément. Clignez légèrement les yeux, placez vous devant une de ses toiles et contemplez-la à votre aise, vous ne verrez que des étincelles de lumière partout.
Laurent PARCELIER donne l’impression de vivre d’éternelles vacances, entre Provence et Lubéron, heureux et contemplatif, coulant des jours paisibles, en famille dans une belle demeure, lézardant au soleil du Midi, nichée dans un village accrochée à flanc de colline, avec pour seul horizon, le ciel, la mer, une plaine fleurie, des montagnes boisées, des bahous offrant leur front chauve à la caresse du jour.
Impressionnisme
S’inscrivant dans le grand mouvement de la peinture traditionnelle française et plus précisément impressionniste, l’œuvre de Parcelier n’en est pas moins très personnelle et remarquable.
Le regard du visiteur est d’abord séduit par l’écriture graphique qui lui vient de son expérience dans le monde de la BD. On est frappé ensuite par la construction méticuleuse et rigoureuse de ses tableaux. Il y a en effet une sorte de colonne vertébrale qui permet à la couleur, diffusée par une multitude de touches légères, de ne pas se perdre dans une abstraction anarchique.
Les œuvres de Laurent Parcelier font partie de nombreuses collections privées à travers le monde, et sont bien connues des amateurs d’art de France et d’Europe.
Août 19, 2016
Kerdalo est né en 1962 dans le Puy-de-Dôme, il a vécu une enfance marquée par les Beaux-Arts. Il passe son temps à dessiner, colorier, peindre, découper, modeler.
Diplômé de l’École des Arts Appliqués de Paris, il se lance dans la bande dessinée et parallèlement à la peinture.
Depuis 1996, il se consacre exclusivement à la peinture.
KERDALO nous propose une écriture rare et étonnante, qui allie des couleurs monochromes, pour nous donner une peinture à l’huile pleine de vie et de lumières…
Effectivement, l’œuvre de Kerdalo n’appartient à aucun phénomène connu, il convient peut-être d’inventer pour lui le terme d’impressionnisme moderne, pour qualifier cette nouvelle approche picturale.
Animé d’un don rare pour le traitement de la lumière, Kerdalo s’inscrit comme l’héritier des grands impressionnistes. Fort d’une expérience de trois décennies, il a inventé une peinture réellement novatrice sans jamais se laisser enivrer par son succès.
Kerdalo continue à utiliser la matière la plus noble et la plus exigeante puisqu’il peint à l’huile, d’une touche fluide qui n’a nul besoin du subterfuge de l’épaisseur pour s’exprimer pleinement.
En véritable ethnographe, Kerdalo raconte la ville en proposant une évocation picturale qui colle parfaitement au XXIe siècle. Il est incontestablement dans la lignée des peintres qui considèrent que la peinture est un mode d’expression capable de s’adapter à son époque.
Et comme il ne manque pas d’audace, ni d’idées, le résultat est à la mesure de son immense talent. Présent dans de nombreuses galeries prestigieuses en France, il évolue maintenant vers les galeries étrangères, sa notoriété étant, dès lors, bien assise dans son pays.
Kerdalo est un peintre que l’on pourrait penser «hyperréaliste», mais son travail est plus personnel. Marqué par le trait et la recherche du mouvement, il a développé son propre style. Ses sujets, principalement urbains, sont parfaits pour capter l’instant tel un arrêt sur image figeant l’animation de nos villes.
Kerdalo nous propose une écriture rare et étonnante, qui allie des couleurs monochromes, pour nous donner une peinture à l’huile pleine de vie et de lumières.
Marqué par le trait et la recherche du mouvement, il a développé son propre style. Compositions épurées, distorsions voulues des perspectives, abandon du «noir et blanc» pour évoluer vers un sépia et une coloration douce avec des ombres et lumières très travaillées.
A l’inverse de la photographie en noir et blanc, ses peintures sont un formidable hymne à l’expression du mouvement et à la vitesse, nous laissant entrer dans la toile, pour mieux nous faire partager des moments de vie.
Chacun sent bien qu’il se passe quelque chose dans ces scènes urbaines qui retranscrivent avec naturel la vie remuante, vibrante et bruyante des grandes villes.
Animé d’un don rarissime, pour le traitement de la lumière, il nous offre une oeuvre originale, qui agit comme un miroir aux émotions. A découvrir…
Août 19, 2016
Dominique Mulhem est né à Neuilly-sur-Seine le 13 juin 1952.
1975 : Formation à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Sa peinture fait référence à la culture pop art et Appropriation (art) par son inspiration. Sa technique fut au départ très pop art avec l’utilisation de la bombe et des pochoirs puis plus hyperréaliste avec l’utilisation de l’aérographe pour devenir un pointillisme contemporain.
Dominique Mulhem a été le premier artiste multimédia en inventant en 1979 l’holopeinture où il mélangeait la peinture à l’holographie. Il avait déjà travailler au début des années 70 sur différentes techniques de restitution de la 3D. Au-delà de sa forme très représentative, sa peinture est avant tout conceptuelle. Les thèmes en sont la vie des gens et des choses, sans limite dans les sujets traités. Toute l’œuvre de Dominique Mulhem a le même fil conducteur: le concept de la vision simultanée. “Le regard du dedans” comme disait Pierre Restany.
EXPOSITIONS INTERNATINOALES :
ALLEMAGNE, CHINE, COLOMBIE, COREE, DANEMARK, EGYPTE, ESPAGNE, ETATS-UNIS, GRECE, FRANCE, HONGRIE, ITALIE, LUXEMBOURG, MONACO, RUSSIE, SUISSE.
Rétrospective Dominique MULHEM 1972-2009, Ville d’Asnières-Sur-Seine, France.
PRESENCE DANS LES MUSEES :
Musée de l’Holographie, Paris, France.
Musée National Hongrois, Budapest, Hongrie.
Museum of Holography, Washington, Etats-Unis.
Musée et Centre des Arts de Zamalek, Le Caire, Egypte.
PRESENCE DANS LES SALONS INTERNATIONAUX
SCARIFICATIONS
Dominique Mulhem développe une suite de concepts étonnants, suite, analyse, actualisation, revisitation aucun de ces termes n’est faux mais aucun n’est vrai, le choix le plus approprié serait réflexion. Réflexion comme retour sur la pensée afin d’examiner plus à fond puis Réflexion comme une réfraction pour franchir une autre vitesse de propagation de l’histoire de l’art .
Dominique Mulhem soumet l’œuvre d’art à un infini déplacement dans l’espace et le temps. Dans les années 80 ses Portraits d’Artistes projetaient peintres et sculpteurs entre passé et futur offrant par les hologrammes une vision tridimensionnelle.
Dans les années 90 de son musée imaginaire , Pierre Restany écrivait: ” Des créatures de rêve devant une peinture de rêve ! devant ! c’est plutôt “Dans” que je devrais dire, car mon oeil s’est avéré incapable de faire la part des choses, d’effacer cette vision simultanée, d’en séparer les deux éléments”.
Dans les années 2000 Les Zones, voyages intemporels dans les mots et les phrases du poème de Guillaume Apollinaire. Chaque décennie Mulhem nous fait partager sa vision du monde. Aujourd’hui ses scarifications nous interpellent sur différentes caractéristiques de notre société face à la culture standardisée en objet de grande consommation. Entre nos désirs secrets de mutilation du regard sur l’œuvre et la scarification sociale qu’elle soit ethnique, tribale ou post moderne, ces incisions sur la peau de la toile signifient une appartenance révélée au monde le l’art en ouvrant un nouvel espace, une aération pour un besoin de respirer à nouveau.
Toute l’œuvre de Mulhem a le même fil conducteur: le concept de la vision simultanée.
Août 19, 2016
MENDJISKY
Serge Mendjisky est né en 1929 à Paris. Son père, Maurice Mendjisky, était peintre de l’Ecole de Paris, c’est ainsi que Serge fait connaissance avec le monde des Arts dés son enfance. Après avoir suivi ses études aux Beaux Arts de Paris, il devient vite un artiste reconnu et expose en Europe, au Japon et aux Etats-Unis. Déjà, il utilise la photographie pour faire ses études préliminaires en peinture.
En 2000, il décide d’utiliser la photographie comme unique moyen d’expression. Il emprunte la technique du collage afin de modifier les images photographiques et d’articuler sa vision multidimensionnelle du monde. Les perspectives multiples, exprimées dans ses collages évoquent très clairement la phase analytique du Cubisme. Pablo Picasso, bien connu de Serge Mendjisky grâce aux activités de son père sur la scène artistique de l’époque, lui a dit que le Cubisme proprement dit serait pleinement atteint à travers la photographie. Serge Mendjisky a toujours gardé cette vision à l’esprit, et après de nombreuses années d’exploration technique, il a trouvé un moyen de questionner non seulement l’apparence du monde, mais aussi notre comportement perceptuel.
En décomposant et recomposant les horizons de certaines des plus célèbres cités du monde, tels New-York et Paris, Serge Mendjisky crée de nouveaux paysages urbains qui interrogent nos facultés perceptives.
Volumes, lumières et couleurs créent des rythmes visuels différents qui établissent de nouveaux rapports entre Temps et Espace. A travers l’objectif créatif de Serge Mendjisky, Broadway devient une explosion de lumières multicolores, tandis que le “Down Town” new-yorkais valse poétiquement aux sons d’un violoncelle. Des paysages urbains reconnaissables sont redéfinis et leur réalité reformulée devient tridimensionnelle.
MENDJISKY
Serge Mendjisky est né en 1929 à Paris. Son père, Maurice Mendjisky, était peintre de l’Ecole de Paris, c’est ainsi que Serge fait connaissance avec le monde des Arts dés son enfance. Après avoir suivi ses études aux Beaux Arts de Paris, il devient vite un artiste reconnu et expose en Europe, au Japon et aux Etats-Unis. Déjà, il utilise la photographie pour faire ses études préliminaires en peinture.
En 2000, il décide d’utiliser la photographie comme unique moyen d’expression. Il emprunte la technique du collage afin de modifier les images photographiques et d’articuler sa vision multidimensionnelle du monde. Les perspectives multiples, exprimées dans ses collages évoquent très clairement la phase analytique du Cubisme. Pablo Picasso, bien connu de Serge Mendjisky grâce aux activités de son père sur la scène artistique de l’époque, lui a dit que le Cubisme proprement dit serait pleinement atteint à travers la photographie. Serge Mendjisky a toujours gardé cette vision à l’esprit, et après de nombreuses années d’exploration technique, il a trouvé un moyen de questionner non seulement l’apparence du monde, mais aussi notre comportement perceptuel.
En décomposant et recomposant les horizons de certaines des plus célèbres cités du monde, tels New-York et Paris, Serge Mendjisky crée de nouveaux paysages urbains qui interrogent nos facultés perceptives.
Volumes, lumières et couleurs créent des rythmes visuels différents qui établissent de nouveaux rapports entre Temps et Espace. A travers l’objectif créatif de Serge Mendjisky, Broadway devient une explosion de lumières multicolores, tandis que le “Down Town” new-yorkais valse poétiquement aux sons d’un violoncelle. Des paysages urbains reconnaissables sont redéfinis et leur réalité reformulée devient tridimensionnelle.
Août 17, 2016
Patrick RUBINSTEIN – KINETIC POP ART
Né en 1960 à Paris, Patrick Rubinstein est un artiste contemporain Français issu de l univers de la mode travaillant ses tableaux sur un concept d OPT ART, (Art Cinétique).
Grace à une technique innovante ses œuvres vous offres 3 vues différentes selon votre angle de vision vous procurant ainsi 3 fois plus d émotions.
Vous aimeriez retrouver les idoles de votre jeunesse ?… Patrick Rubinstein les met en scène pour vous en les associant par un jeu d’optique unique, à une autre image. Pour Michael Jackson ? Un graphe de « Beat It » en clin d’œil à son tube planétaire de 1982. Pour les Beatles ? L’Union Jack.
Pour les quatre géants des fifties, Spiderman, Betty Boop, Super Man et Marilyn ?… Les mêmes mais en couleurs ou en noir et blanc, selon l’angle de vue…
On est dans le pop et street art, la création ludique, dynamique et généreuse. Mais aussi dans l’op art, l’art optique qui se joue de tout et surtout de nous, pour notre grand plaisir.
Ses débuts :
Tout commence alors que Patrick Rubinstein est encore ado. Il aime l’art, la photo argentique et le cinétisme. Que choisir entre les trois ? Rien – c’est à dire tout.
Il coupe en lamelle une photo, l’intercale avec une autre, puis colle l’image recomposée sur un support, tente un pliage en accordéon et obtient une œuvre en relief. De face, l’image est double, les deux photos se superposent, mais vue de perspective, l’effet est bluffant. Selon l’angle, il n’apparait qu’une seule des deux images. Son concept en 3 D est né.
Ses premières créations sont réalisées à partir de portraits de ses proches. Une mère et son fils, un frère et sa sœur, un père et sa fille… Rapidement, son jeu visuel remporte un franc succès bien au-delà de son entourage. Il doit continuer – le tout est de savoir comment ?! Sa technique est encore trop artisanale pour supporter des créations plus sophistiquées, a fortiori en dimension XXL.
A découvrir en ligne : Le Catalogue Interactif des œuvres de Patrick Rubinstein